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Лучшие книги в жанре научной фантастики: открытие новых горизонтов Произведения Александра Грибоедова: вечная актуальность классики

S’est achevé voici l’été. L’été a volé imperceptiblement, mais, malgré cela, il a laissé la masse des impressions inoubliables.Ayant passé avec succès les examens, à la fin de mai, je n’ai pas pris congé de l’école, а il restait à travailler dans l’équipe d’école de travail. Là je travaillais вожатой dans le troisième détachement. À notre détachement marchaient les plus petits élèves de notre école — les élèves de première. Avec eux il était très facile de travailler. C’était les enfants mobiles, gais, joyeux un peu espiègles. La vie de notre camp passait gaiement, elle était saturée des programmes vifs divertissants et les autres весельями. Le jour de camp chez nous, comme il faut, commençait par la gymnastique de matin, après cela nous avec les enfants jouions à de divers jeux d’enfants, dessinaient, chantaient, organisaient les concours. Après le déjeuner nous marchions sur les excursions de la ville. Pour le remplacement de camp nous avec les enfants avons visité le parc par lui. De Nikolaev, le bois Lakreevsky, golfe et plusieurs places etc pas moins intéressantes de notre ville.

Aussi de moi est resté dans la mémoire, comme chez nous au camp venait le théâtre avec le spectacle «Accuse-duvet ses amis». Ce tableau plut aux enfants beaucoup, а après que le théâtre est parti, nous et mettions bien des fois les organisations semblables scéniques, auxquelles participaient les enfants eux-mêmes.Mais voici juin approchait de la fin, le remplacement de camp s’achevait. Il était temps de dire adieu à la vie de camp gaie, et les enfants aimés déjà par moi. Mais non seulement moi il était triste à cause de cela, je voyais aussi, comme les enfants éprouvent. Ils ont aimé très fortement en un mois le détachement, le camp et maintenant ils ne veulent pas s’en séparer.Ainsi j’ai passé le premier mois de l’été.En juillet je suis allée au village. Là j’ai vécu près de trois semaines.

J’aidais la mamie selon l’économie, marchait se baigner sur la rivière, marchait avec le papi sur la pêche, soignait ses lapins, qui il divorce déjà beaucoup d’années.

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